Emploi à l'honneur

Job in de kijker: Heidi & Kurt

Nos produits arrivent en excellent état chez nos clients. Ils doivent donc être parfaitement emballés et correctement étiquetés. Kurt et Heidi travaillent ensemble depuis de nombreuses années sur l’une des machines d’emballage de Deliva. Ils nous expliquent leur travail.

Depuis combien de temps travaillez-vous chez Deliva ?

Kurt : « Je travaille ici depuis 1995. »

Heidi : « Je travaille chez Deliva depuis 1997. »

Pouvez-vous expliquer en quoi consiste exactement votre travail ?

Kurt : « J’emballe des produits, comme des légumes ou des plats en sauce, pour les envoyer au client. Parfois, c’est assez difficile, car le rythme peut être soutenu. »

Heidi : « Je m'occupe de l’étiquetage. En fait, je m’assure que Kurt puisse se concentrer pleinement sur l’emballage. J’aide aussi à tout installer, préparer, etc.  Il y a tout de même 3 000 pièces (environ 9 000 kg) qui passent entre nos mains quotidiennement ! »

À quoi ressemble une journée de travail ? 

Heidi : « En arrivant, je regarde immédiatement quelles tâches sont prêtes. Ensuite, je commence à tout préparer à la machine pour Kurt, par exemple je remplis les récipients de sauce. Comme ça, il ne doit pas chercher ce que nous devons faire, il peut directement commencer à emballer. Après 15 ans de collaboration, Kurt et moi travaillons en parfaite harmonie. » 

Kurt : « Nous sommes une équipe tous les deux, mais nous avons également une bonne relation avec An, notre préparatrice. C’est elle qui prépare les repas pour nous. Si nous lui demandons un produit, nous sommes sûrs de l'avoir tout de suite. »

Quelles sont les compétences requises pour cette fonction ?

Kurt : « Il faut s’y connaître en emballage, être résistant au stress et pouvoir tenir le rythme. On est parfois sous pression, mais ça rend la journée intéressante. »

Heidi : « Pouvoir s’adapter au changement est également un plus. Contrairement à d’autres chaînes de production, nos produits changent. Cela demande pas mal d'organisation et de réflexion, car chaque produit a sa propre étiquette et sa propre température de stockage. Certains produits doivent donc être placés sur un autre chariot, afin d’être correctement réfrigérés. »

Comment êtes-vous arrivé chez Deliva ?

Kurt : « Je travaillais pour une autre entreprise alimentaire, mais elle a fait faillite. Une semaine plus tard, Deliva m’a contacté pour me proposer de travailler pour eux. Et voilà. »

Heidi : « Je travaillais quelques heures par semaine chez Mc Donald’s, mais je souhaitais travailler à temps plein. Sur les conseils d’amis de mes parents, je suis venue ici à l’essai. J’habite à trois kilomètres de l’entreprise, c’est l’idéal. Et je suis restée ! »

 

Pourquoi avez-vous choisi de postuler pour cette fonction ? 

Kurt : « En fait, ça s’est présenté ça. J’ai occupé quelques autres fonctions, mais celle-ci m'a plu. Le travail d’équipe est agréable aussi. »

Heidi : « J’ai suivi plus ou moins le même parcours. Mais j’aime quand ça bouge, j'ai du mal à rester tranquille. Il faut que ça avance. J’aime ce que je fais, sinon je ne serais pas restée 25 ans ! »

Deliva est-il un bon employeur ? En quoi travailler ici vous plaît-il ?

Kurt : « Je trouve que Deliva est un très bon employeur. Nous sommes toujours payés correctement et à temps. Au fil des ans, l’entreprise s’est aussi grandement professionnalisée. Les premières années, on faisait parfois beaucoup (trop) d’heures. Il n’en est désormais plus question. Tout est parfaitement organisé. Les repas pour le personnel sont également un plus. »

Heidi : « Je suis entièrement d’accord. Tout est désormais très bien organisé, vous savez précisément quand votre journée commence et quand elle se termine. Le travail d’équipe avec les collègues est excellent lui aussi : chacun sait ce qu’il doit faire. L’ambiance est très bonne ! » 

Avez-vous une anecdote amusante ?

Heidi : « Un jour, nous pompions de la soupe aux pois. Une collègue a accidentellement actionné la pompe au moment où elle la retirait. Et devinez qui passait par là... une dose complète de soupe a fini dans mon col. De la soupe aux pois froide, heureusement, dégoulinait dans mon dos. On en rit encore parfois ! »

Fermer