Nous sommes curieux. Comment avez-vous atterri chez Umami ?
Ibrahim : « J’ai travaillé dans un restaurant gastronomique, mais les horaires de travail… pff… ce n’est vraiment pas à sous-estimer. Lorsque j’ai vu un poste vacant chez Umami avec de meilleurs horaires, je n’ai pas hésité une seconde. »
Laurent : « Pour moi, cela s’est presque passé de la même manière. Ce que j’aime vraiment chez Umami, c’est l’ambiance familiale entre les équipes et la direction et, bien sûr, la liberté dont nous bénéficions pour faire notre travail. »
Ibrahim : « Chez UMAMI, ils font vraiment attention à leurs collaborateurs, à leurs talents, et ils leur offrent aussi des possibilités de se former. J’ai moi-même suivi des formations. Chez Umami, ils optent résolument pour une approche personnalisée. »
Bien. Vous aviez déjà tous les deux une expérience dans le domaine de la restauration, pourquoi cette passion pour la nourriture ?
Laurent : « J’ai toujours été fasciné par ce secteur, notamment par l’atmosphère qui règne dans les hôtels. J’ai donc décidé de faire l’école hôtelière à Namur. J’ai ensuite obtenu un graduat en gestion hôtelière. Avant de me retrouver dans l’horeca, j’ai donc travaillé dans différents hôtels de Bruxelles.
Ibrahim : « J’ai un diplôme de gestion à mon actif et j’étais indépendant dans l’import-export. Lorsque j’ai déménagé en Belgique, j’ai décidé de mettre à profit ma passion pour la cuisine. J’ai commencé à travailler dans une cuisine tout en suivant des formations. J’ai également travaillé chez Belgacom, ce qui me permet aujourd’hui de combiner mes études et mon expérience en cuisine. » (il sourit)
Quel effet cela fait-il de travailler dans un centre d’asile ?
Laurent : « J’en retire une grande satisfaction. Nous pouvons vraiment signifier quelque chose pour les résidents et rendre leur vie quotidienne un peu plus agréable. Et cela transcende aisément toute la paperasserie qu’implique le fait de travailler pour une organisation publique belge. » (rires)
Ibrahim : « Exactement, c’est l’aspect humain et social qui rend notre travail agréable. Bien sûr, il faut aussi écouter les préférences des gens, qui peuvent être complètement différentes des nôtres. L’équipe est là pour les servir de la meilleure façon possible. »
Vous êtes prêts à intervenir tous les jours avec une équipe au complet. En quoi est-ce important ?
Laurent : « Les centres d’asile sont dispersés dans toute la Belgique. S’assurer que tout le monde regarde dans la même direction peut parfois être un défi. Mais au sein de l’équipe des Account Managers, la plupart se connaissent depuis longtemps, et nous savons donc très bien comment tirer parti des forces de chacun. Bien que l’on ait l’impression qu’il existe un groupe francophone et un groupe néerlandophone. Je suis le pont entre les deux. Je suis donc heureux d’avoir appris le néerlandais au début de ma carrière en tant qu’Account Manager. »
Ibrahim : « C’est aussi à nous de constituer de bonnes équipes sur les sites et d’être là pour elles, car elles sont en contact direct avec les résidents. »
Est-ce que quelque chose de drôle vous est arrivé ?
Ibrahim : « J’ai passé mon entretien d’embauche en néerlandais, je ne sais même plus comment, mais après, je ne l’ai plus jamais parlé. Je n’ai tout simplement plus eu à l’utiliser au cours de ma carrière ici. »
Laurent : « Lorsque j’ai commencé comme district manager junior il y a des années, mon mentor m’a emmené à une présentation à Genk. Je n’ai pas compris un mot à l’époque, je me suis contenté d’acquiescer. Ce jour-là, j’ai décidé d’apprendre le néerlandais. » (rires)
Fun facts
Le boute-en-train du groupe : Si l’on considère tous les Account Managers chez Umami, c’est sans aucun doute Christel Grosjean.
Celui qui fait les moins bonnes blagues : Laurent n’a aucun doute : Ibrahim.
Une info musicale : Ibrahim écoute parfois Qmusic.
Des hobbies particuliers ? Ibrahim est un vrai bricoleur, Laurent est souvent sur son vélo.
Le meilleur conseiller : Laurent et Ibrahim sont très prompts à se désigner mutuellement du doigt.