Allons droit au but. Comment avez-vous atterri chez Umami ?
Thérèse : « Ça s’est fait plutôt par hasard. J’avais 50 ans et j’ai eu l’opportunité de rejoindre Umami. Je ne le regrette pas une seconde. En fait, je suis à la retraite depuis 3 ans, mais je ne pense pas m’arrêter. »
Cathy : « Je suis dans le métier depuis plus de trente ans. Pendant 23 ans, j’ai organisé des banquets pour un vaste éventail de fêtes. Ensuite, j’ai travaillé dans un restaurant pendant quelques années, mais les horaires étaient difficiles. De plus, je voulais faire quelque chose dans le secteur social. Et voilà comment j’ai atterri chez Umami. »
Annie : « J’ai combiné deux emplois pendant un certain temps, mais ce n’était pas tenable. J’ai donc été ravie lorsque Christel m’a dit qu’il y avait une place à temps plein pour moi ici. »
Zoumretta : « J’avais déjà travaillé avec Christel chez Umami entre 2010 et 2013, mais lorsque le centre où je travaillais a fermé, j’ai arrêté. Ils ne m’ont pas oubliée pour autant, et j’ai été très heureuse lorsque Christel m’a appelée en 2020 pour savoir si j’étais intéressée de travailler au centre de Rocourt. Bien sûr que je le voulais ! »
Christel : « Je suis tombée sur une offre d’emploi mal traduite, un poste de gardien de réfrigérateur. J’ai tellement ri... que j’ai postulé. Je ne savais pas vraiment pour quel poste, et ils m’ont finalement engagée comme responsable de l’ouverture du centre de Stoumont. C’est aussi là que j’ai rencontré Triesje lors de ma première journée de travail. Elle m’a formée et elle restera toujours pour moi Mammie Thérèse. »
C’est amusant. C’est donc agréable de travailler ici.
Zoumretta : « Cette équipe est vraiment une deuxième famille. »
Ensemble : « C’est vrai ! »
Annie : « J’ai émigré du Congo avec mon compagnon, mais grâce à ces collègues, j’ai vraiment l’impression d’avoir gagné une nouvelle petite famille. »
Christel : « Cette équipe est vraiment fantastique. » Ils m’ont offert mon premier gâteau d’anniversaire avec des bougies. Mon anniversaire coïncide avec Pâques et mes grands-parents sont très catholiques, donc j’avais toujours eu droit jusqu’ici à un agneau de Pâques. Cette année, grâce à cette équipe et quelques collègues de Vottem, j’ai pu souffler des bougies pour la première fois. » (Émue)
Quelle belle histoire. Au fait, quel effet cela fait-il de travailler dans un centre d’accueil Fedasil ?
Christel : « Je trouve que les résidents sont vraiment fantastiques. Vous apprenez tellement d’eux, non seulement sur le plan de la nourriture, mais aussi de toutes leurs coutumes et pratiques. »
Annie : « La seule chose qui est parfois difficile, c’est que le personnel de Fedasil change très souvent. Par conséquent, tout le monde n’est pas bien au courant du fonctionnement du centre, et travailler seule le week-end est parfois difficile. »
Christel : « C’est vrai, cela ne facilite pas toujours les choses. Mais cela n’enlève rien à la beauté de ce que les résidents nous enseignent : leur vision de la vie, leur mentalité. Ils nous font relativiser. » (Tout le monde acquiesce.)
Et trouvez-vous qu’Umami est un bon employeur ?
Ensemble : « Oui ! »
Annie : « La liberté de faire notre travail comme on le sent et l’accent mis sur l’aspect humain sont vraiment énormes. »
Zoumretta : « C’est exact. »
Le travail d’équipe est important dans votre travail. Comment faites-vous pour entretenir cet aspect ?
Ensemble : « Nous communiquons. »
Cathy : « Tout commence par une bonne communication au sein de notre équipe. Et comme nous nous entendons bien, tout se déroule pour le mieux ici au centre. » Si nous avons malgré tout une question, nous pouvons toujours nous tourner vers Christel. »
Thérèse : « Nous sommes à l’écoute, l’avis de chacune est important, également celui des résidents. »
Comment renforcer encore davantage l’esprit d’équipe ?
Christel : « Ce n’est pas possible, ils ont un score exceptionnel dans tous les domaines ! » (sourit fièrement)
Triesje : « Nous apprenons tous les jours, et chacune d’entre nous reste ouverte aux commentaires. »
Cathy : « Il est vrai que nous travaillons aussi dans la même équipe depuis presque trois ans, cela aide évidemment. »
Avez-vous une anecdote amusante à nous raconter ?
Thérèse : « Un jour, nous avions une nouvelle collègue et nous devions préparer 200 omelettes. Elle me demande : « Thérèse, comment faut-il faire ? » Je lui explique que nous allons utiliser deux plaques de cuisson. Le lendemain, elle arrive au travail avec des poêles de chez elle pour faire cuire les œufs. Ma responsable lui demande alors : « Que fais-tu avec toutes ces poêles ? » Ce à quoi elle répond : « Je dois faire des omelettes, mais ça va être difficile avec seulement deux poêles. » Ma responsable n’a pas pu s’empêcher d’éclater de rire ; cette collègue avait manifestement oublié que les omelettes étaient préparées à l’avance chez Deliva et qu’il suffisait de les réchauffer. Cette collègue me l’a elle-même raconté le lendemain. » (rires francs)
Fun facts
Les boute-en-train du groupe : En chœur : Annie !
Sorties préférées avec l’équipe : Aller au restaurant, c’est évident ! Celle qui fait les moins bonnes blagues : Chez Umami, on n’entend que de bonnes blagues, il manque clairement un homme dans l’équipe. Mais si elles doivent vraiment choisir : Triesje.
Pourquoi faudrait-il vous décerner le prix de la « meilleure équipe » ? Même le directeur voudrait travailler avec nous !
